La Confédération des Gaules.

Un changement politique à été opéré en Gaule, une confédération à supplanté l'ancien régime de droit divin des Arvernes. Un conseil tribal constitué de druides à été mis à sa tête.
Soucieux de respecter la "démocratie", comme l'appelle les grecs, un second conseil, le conseil celte, à été placé en parallèle du premier afin d'équilibrer les pouvoirs entre les nobles.
A la tête du conseil celte, l'homme fort des Gaules : Tugoresix.
Ce dernier est déjà connue partout en Gaule, et son nom commence à se répandre dans les armée romaines. Il à la réputation d'être un homme terrifiant, cruel et lunatique, mais ces méthode sont efficaces. Il à réussi à museler l'opposition et à s'octroyer le soutien de l'armée.
A la tête du conseil tribal, un vieux druide dont le nom ne vaut pas la peine qu'on l'évoque.

Suite à la proclamation de paix entre Carthage et Rome, puis l'entrée en guerre de l'alliance Arméno-Pontique et de l'alliance hellène, une assemblée exceptionnel à été convoqué.

C'est ainsi que Tugoresix s'adressa à l'assemblée:

Hommes de Gaules, mes frères... Notre terre est menacée, la guerre face au petits romains au Sud s'éternisent, la famille bleu (Scipii) nous provoque en détruisant nos flottes et en retenant nos armée au Nord de Genua, la famille verte (brutii) ose venir nous gêner, et les rouges (julii), les plus misérable des ces chiens sont retranché derrière leurs mur de pierre...

Il marqua une pause puis repris :

De plus... ces vielles femmes que sont les Carthaginois se sont retirée d'une guerre qu'ils n'ont pu gagner que grâce à l'intervention de nos valeureux fils ! Ces rats des mers préfère marchander avec la vermine plutôt que de l'écraser... A l'est, ces babouins efféminé de grecs, ces charognard, nous attaquent là ou nous sommes les plus faible. Un autre ennemi est aussi apparu, les Arméniens, tous droit sortis de leur fange nous attaquent ! Nous sommes pris entre 3 feux !

Mais !... Tous n'est pas perdue, au Nord, nos frères celtes, après de misérable défaite, vont peut-être conclure la paix. Ce ne serait pas mal que les Germains se battent comme des hommes, c'est à dire contre plus faible qu'eux : les Romains !

Il n'y à qu'une seule chose qui me gêne, l'ancien roi à laissé des traces, vous êtes ces traces... afin de couper tous liens avec la tyrannie Arverne, nous devons laver ses traces... avec votre sang...

A ces mots, Tugoresix dégaina son glaive et le planta sur le pupitre, des hommes armée, de long couteau, s'attaquèrent au membres de l'assemblée... le sang coula à flot et Tugoresix se joignit lui-même au massacre, à la fin l'Agora était couvert de cadavres au visages terrifié, Tugorésix, couvert de sang, s'adressa à un serviteur et lui ordonna qu'on enlève ces corps et qu'on les donnes en pâture aux corbeaux. Depuis ce jour Tugoresix ne fut plus jamais contésté et on le surnomma Tugoresix "Le Terrible", "Le Fratricide" où encore même "le corbeau rouge".

Un message fut envoyé à tous les ennemis des tribus:

Tugoresix, chef de toutes les tribus, s'offusquent de voir vos armée marché contre lui. Seul le sang pourra laver cette injure et les hommes que vous avez lâchement envoyé nous combattre ne reverront ni leurs terres, ni leurs familles, ni le jour se lever.

c'est une vision de la démocratie assez sanglante
en plus je te fais l'honneur de mon 1'000 ìeme messages

Ben moi de mon 82eme message

La fange vaincra !

rp bien sympa, ça prouve la motivation des gaulois

Tugoresix, depuis son coup d'etat, avait relancé la machine de guerre gauloise, celle-ci n'avait que mollement fonctionnée durant la période de la Confédération.
Il appela un esclave romain qui lui servait de scribe afin qu'il transmette ses ordres par écrits, au Tribus du Sud il ordonna :

Les armées alliées contre la Ligue Barbare on lancés une offensive depuis l'Italie, des bateaux grecs ont même été signalé au abord de la Sicile il y a 1 mois, à moins que ces informations soient démontré erroné dans les jours qui suivent, une vigilance toute particulière sera accordée au littoral méditerranéen. Des murailles de pierre remplaceront celle de bois, et des unités d'archers veilleront continuellement sur ces murailles, les hoplites n'aiment pas les flèches, de plus des contingents de cavaleries légères patrouilleront autour des villes, afin qu'en cas de siège elles puissent intervenir rapidement pour briser les phalanges lorsque celles-ci se heurteront à nos volées de flèches.

Le scribe partit afin de transmettre les ordres.
Et il continua de parler afin de faire le point sur les opérations qu'il allait lui même menées :

Au Sud, j'établirais une ligne de front entre les villes de Nicea, de Aqua Saxtiae et de Medionalum qui serviront de QG, je prendrais moi même la tête de Mediolanum... et comme sur la méditerranée j'ordonnerai la construction de murailles de pierre.
J'organiserai des lignes de ravitaillements et de renforts autour de ces villes : toutes les villes d'Espagne fourniront en hommes Nicea, celle du sud de de la Gaule fourniront Aqua Sextiae et enfin les villes du centre, les plus riches, fourniront Medionalum d'où les principales offensives seront lancées.

Tugoresix appela un 2eme scribe, un Gaulois libre cette fois, afin de transmettre ses ordres pour le Nord :

Transmettez que, les villes du nord, forte du commerce avec nos cousins germains ( ) et britons, serviront à gonfler l'économie, j'ordonne don la construction de grands marchés... ce sera tout.

Le scribe s'exécuta.
Ensuite Tugoresix, sortit un parchemin et nota quelques directives qu'il ferait exécuter par le conseil celte :

Dans toutes les villes de Gaule, les routes pavées remplaceront celles de terre battue, les marchands formées dans les grandes villes commerciales seront transférés partout en Gaule, même dans les plus petit villages.

Tugoresix fit porté ce message et sortit de sa tante... devant lui : Medionalum, une ville issue d'un mélange des cultures romaines et Gauloise.
Plus aux Sud, s'étendaient les plaines de Genua, où les opérations Scipii au Nord de l'Italie seront stoppés, et encore plus loin au Sud, les Arméniens avait engagés le combat avec ses troupes au abord de la ville rebelle de Ariminium.
Un pas cadencé le sortit de sa méditation : c'était celui de ses troupes, les armées stationnés à Medionalum étaient tellement imposante que la majorité des hommes ne pouvait entrer dans la ville, de plus des troupes continuaient d'affluer de toutes les de la Gaule, le spectacle devait être le même à Victus Sextia et à Nicea... Un spectacle : grandiose et terrible. Les armées immenses de la Gaule, allait déferlées sur l'Italie, pour la marquer à jamais d'une trace et d'une murmure : une trace rouge et un vae victis

Un soldat lourdement armé arriva et s'agenouilla, il transmit ce message : Les épéistes d'élite sont arrivés grand chef : 2 unité. On m'informe que 3 autres sont partis de Gergovia ce matin même, elles devraient donc arriver dans 2 mois.

Tugoresix congédia le soldat, et se fit servir son repas. Il porta un toast à sa victoire future.

( tu vas ou au ski ? )

Tugoresix prenait son bain, quand un messager fit irruption.

Ce dernier était fort poussiéreux, et devait venir de loin...
Sachant que les seules attributions qu'il n'avait pas délégué concernait l'Italie, il devina ensuite ce qu'allait dire le messager :

L'armée près d'Ariminium à été vaincue je présume ?

Le messager ne fit guère surpris, il connaissait Tugoresix depuis longtemps...

Oui grand chef, les survivants sont peu nombreux et se dirigent maintenant vers Patavium... en fessant escale à Bononia... la bataille ne fut pas un échec, malgré l'infériorité technique de nos hommes, ils ont pus infliger de lourde perte au orientaux.

Le messager restât agenouillé pendant que Tugoresix réfléchissait en bullant dans son jus, puis le chef de toute les tribus donna ses ordres :

Envois toutes les troupes stationnant à Mediolanum non nécessaire à l'"opération Brennus" en renfort à Bononia, nous stopperons l'avance Arménienne las-bas...

Et vous grand chef ? Demanda le messager

...quant à moi, je partirai demain pour Genua afin d'assister à la bataille face au romains bleu.

Le chef de toutes les tribus se trouvait au milieu d'un champ couvert de cadavres.
Le fond de l'air était humide, et la rosée, comme pour nettoyée l'immonde blessure infligée à la terre, continuait à tombée. L'odeur était épouvantable.

Un râle se fit entendre, Tugoresix, intrigué se dirigea vers l'homme qui avait gémit... un romain... Il se planta devant lui, et deux soldats saisirent le légionnaire.

-Comment t'appelle-tu ? fit le Gaulois.

-Caius cracha le romain, et comme plein de fierté, ajouta de la LEGIO IV AUGUSTA

-La LEGIO IV AUGUSTA ?

Un scribe s'approcha prêt de seigneur et lui murmura :

-La légion qui à été vaincue par Ergovevix le barbue ici même

Tugoresix sourit au romain et lui dit :

-Et bien... je suis enchanté ... Caius !

Tugoresix empoigna son glaive, prit Caius par les cheveux et le décapita lentement...
Une fois la tête séparée du tronc, les deux soldats prirent le corps et le jetèrent dans un fossé nom loin d'ici, où les cadavres, romains comme gaulois, avaient été abandonnés.
Tugoresix interpella un esclave romain et lui tendit la tête en disant :

-Cet homme s'appelait Caius, comme toi... mais il a eu moins de chance que toi... maintenant montre moi ta reconnaissance, ajoute cette tête à ma collection... après l'avoir traité bien entendue...

L'esclave partit, peu après deux soldats, richement habillés, des généraux sans doute, vinrent aux ordre. Il se postèrent devant Tugoresix qui prit la parole :

-Ce fut une belle victoire messieurs, maintenant, la route vers Genua est grande ouverte ! ...vous savez ce qu'il vous reste à faire...

Alors qu'il s'apprêtait, à partir, un des généraux interpella le roi et lui demanda :

-Et ou allez vous seigneur ? Vous ne vous battrez pas ?

Tugoresix se retourna et plein de calme dit :

-Les grandes batailles sont pour les grands généraux : Genua est une petite ville, vous y allez, Roma en est une grande, j'irai ! ... la vie est bien faite, non ?

HRP : mais euuh, Titus était appelé à vivre encore de grandes aventures après son retour à Rome ! je proteste vivement contre la mise à mort d'un personnage RP nommé et exploité dans mes histoires.

et moi je proteste pour ne pas donner de digne funérailles au celte tombé dans cette bataille ! non mais, faut respecté les coutumes celtes ^^

Ok, on dit que c'est un type qui s'appelle Titus mais c'est pas le même ,
...ok je remplace par un autre bonhomme si tu préfère ?

EDIT : j'ai remplacé Titus par Caius, (je l'aurai un jour ce Titus ! je l'aurai !)

Tugoresix mâchait quelque étrange aliment quand son fidèle esclave, marsius arriva, ce dernier apportait des nouvelles urgente :

- Bonjour seigneur, des nouvelles urgente attende votre écoute !

Tugoresix hocha de la tête et cracha quelque chose par la fenêtre :

- Je t'écoute Marsius

Ce dernier sortit un parchemin de sa besace et commença à lire :

- Je commence par les mauvaises nouvelles sire : Bononia est tombée, la garnison ne disposait pas d'équipement nécessaire pour affronter els Arméniens supérieur en nombre et avec un équipement de bien meilleure qualité que le notre, de plus une armée grecque approche de Genua.

L'esclave marqua une pause puis reprit :

- Quand au romains, leurs armées se recomposent, ils semblent qu'ils n'ont pas soufferts autant de la guerre que nous le pensions, et ils ont refusé nos conditions de paix, la guerre est donc toujours à l'ordre du jour...

Tugoresix à sa manière habituelle, rencontrait les problème puis appliquait ses solutions, c'est comme çà qu'il menait ses guerres.

- Pour Bononia, un armée se situe plus au nord, mais malheureusement cette armée date d'avant la reforme que j'ai entreprise, ils ne sont donc plus en mesure de prendre une ville défendue par une garnison aussi forte que celle de Bononia. Ce n'est pas grave Bononia n'était qu'une tête de pont secondaire. Elle retombera une fois que nous aurons finit le ménage au Nord.
Quand aux grecs, cela est fâcheux, mais je pensais qu'ils arrêteraient de nous affronter, mais bon, ils doivent aimer gaspiller leurs hommes, ils seront massacré par les armées des plaines de Genua, ils ne sont vraiment pas doué pour se battre hors de leur pays miteux et n'ont décidément aucun talent pour la politique étrangère...

Les Romains ont refusé la paix ? Le plan que j'avais mit au point est toujours envisageable, Rome tombera quoiqu'ils fassent. Ils ont toujours à leur dispositions des armées nombreuses, mais elles n'aiment pas la forêt...

-Les bonnes nouvelles maintenant je te prie Marsius

-La paix est conclue avec les Schytes et leurs alliées, maintenant toute la ligue peut s'engager au combat face à Rome, quand à l'avancement de de l'"opération Brennus", les armée Brutii sont face au nôtre au nord de Genua, qui est justement assiégé par une de nos armées. Plus de 4000 homes fraichement recruté ont été envoyé pour conquérir les terres Brutii mal défendue à l'est de l'Adriatique.

Tugoresix prit une pommes et s'amusa à la lancer puis la rattraper, il n'avait plus rien à dire, mais ajouta :

-Rome tombera maintenant, ce n'est plus qu'une question de temps, et ce temps vient d'être écoulé grâce a nos alliés... j'adorais voire cette vieille barbe de Scipion ainsi que cet éborgné de Joarius lorsque Rome brulera et que leurs fils seront tous mort...

Tugoresix était assis sur son trône, songeur, sa tête posée sur sa main et son coude sur les accoudoirs...
Autour de lui, les "députés" du conseil celte débattait violemment sur l'avenir de la Gaule.
Il les entendaient l'insulté, le traité de vieille femme, on disait qu'il avait abandonné la Gaule... que le vrai Tugoresix était mort...
Il rageait car il ne pouvait rien faire...

En effet, suite à la trahison de la ligue barbare ainsi que la volonté grecque d'augmenter leur présence en Italie, les gaulois était démotivés...

Mais soudain son fidèle esclave : Marsius, arriva par sa droite et lui transmit les nouvelles : La Gaule bouge grand seigneur...

- De partout des milliers de guerriers sont recrutés, de toutes les villes et villages de toutes les tribus, ont bâtit des murailles.
Les armées en Italie ont reçus leurs renfort, et plus de 10 000 hommes sont sur les routes entre Gergovie et Mediolanum ! Ils n'attendent que votre ordre pour marcher au Nord où au Sud !

Mais Tugoresix était amer... ses alliées l'avaient trahis, seul les Ibères n'avait pas encore statués... mais la ligue avait été dissoute, ils n'avaient plus aucune raison de l'aidé...
Mollement, il répondit :

- Qu'en est-il des front Nord Marsius ?

- Les Germains ont tenue leur noble promesse, il retiennent leurs troupes afin de nous affronter dans de grandes batailles lorsque nous serons prêt. Une armée Britonne, stationne en Bretagne, la guerre n'est pas encore effective, mais ce n'est qu'une question de mois... ne nous n'attendons pas à autant de noblesse de la part des Britons que de celles des Germains...

- Je suis fatigué Marsius, nous sommes attaqués de partout, les plus grandes nations de ce monde sont contre nous... à cause de ces chiens de romains, qui, d'un coté refusent de négocier une paix, et de l'autre, jouent aux victimes...

Tugoresix, ouvrit grand les yeux, il avait eu une révélation, il se redressa, et s'adressa au représentants de toutes les tribus, les fit taire, et plein d'une rage sortie de nulle part il s'adressa à eux, à ceux qui l'avait insulté, afin qu'il le respectent et le soutiennent :

- Oui... je suis fatigué... mais en colère ! La Gaule sera peut-être détruite mais je leurs montreraient qui elle est ! Qui sont les Gaulois ! Qui est Tugoresix !!!

Les Députés commencèrent à réagir, certains se mirent à sourirent... leur grand chef, Tugoresix commençait à resurgir :
Le terrible tyran, de nouveau plein de la haine qui l'avait propulsé en tant que chef de la plus grande nation du monde s'adressa à eux :

- Oui mes frères ! Je brûlerai Rome avant que les porcs de la ligue n'atteignent Gergovie ! Je violerait leurs femmes, tueraient leurs enfants si orgueilleux, si sûr de leurs victoire ! Je leur ferait ravalé leur fierté, leur ego démesuré et leur misérable sentiment qu'ils peuvent gagner cette guerre ! Je foulerait du pied cette misérable cité qui leurs est si chère, oui... ce n'est plus une guerre entre nations, c'est une guerre entre peuples ! Ce n'est plus une guerre où l'intérêt est dans la victoire... non... c'est une guerre plus terrible, beaucoup moins noble, celle que se livrent les loup entre eux, une guerre de carnage ! Afin de faire couler autant de sang que la Terre peut en absorber ! Une guerre où l'intérêt est le massacre...

Les tribuns de levèrent et l'acclamèrent, certains, parmi les moins "barbare", le huèrent, mais leur indignation se noya dans le tonnerre d'applaudissement !

- Marsius, transmet à tous les généraux de faire marche vers le front qui leurs est le plus proche, je vais quand à moi, prendre la tête d'une armée et marché vers Rome.

On ferma les portes du palais, sont locataire ne reviendras pas avant lomgtemp. Le cliquetis de la lourde armure de Tugoresix se fit entendre dans les couloirs de la forteresse...
On disait qu'un des princes germains était un génie militaire, il lui brisera le crâne !... on disait que le nouveau dirigeant des Bruti était un de plus grands généraux du monde !... et bien il lui arracherait la langue... Tugorésix partait en guerre et rien que cela avait un gouts de sang...

Les barbares était fanatisés, avide de sang... peut-être qu'ils allaient droit dans le mur, mais à tous jamais on se souviendraient de la "Furia Barbarosa", de la colère de Tugoresix... qui fera trembler le monde !

HRP] Voilà J'espère que vous avez compris, que je ne comptent pas abandonner la partie de sitôt [/HRP]

HRP : super ! on va en baver.... ça nous promet d'épiques batailles

Nord d'Alesia...

l'Armée Gauloise envoyé pour stopper les germains au nord a intercepté une de leurs 3 hordes.

La Bataille s'engage, les archers Gaulois, sur la colline s'avancent, se mettent en position et tire les premières volées. A la grande surprise de ceux-ci, les phalanges germaine se mettent à charger.
La cavalerie des nobles Gaulois sur l'aile droite de l'armée charge le flanc des rang de piquiers qui avancent, ceux-ci abaissent leurs armes brusquement et le tiers des cavaliers s'embroche dessus. La ligne germaine se sépare en deux, et des germains se mettent en charge des nobles qui ont battus en retraite. Le gros des forces d'outre-Rhin continue à avancer vers les positions gauloises, les archers battent en retraite derrières des détachements de soldats qui tiennent la colline, avant que le contacts ne se fasse, les guerriers en armures lourde gaulois charge eux aussi le flanc des piquiers, ceux ci font volte-face et les deux groupes se retrouvent face a face, la cavalerie qui avait battue en retraite reviennent, contourne la ligne et charge, celle-ci se disloque, les détachement gaulois attaques, la cavalerie du l'aile gauche, le general à sa tête, opère la même opération que de l'autre côté de la ligne germaine, la front ennemis est brisé, et des groupes de piquiers débordés se battent pour leurs survies, les archers replié transpercent les fuyard de leurs flèches...
Soudain, alors que la victoire était certaine, alors que le général massacrait des fuyards, celui-ci, face a une petite formation de piquier particulièrement tenace, voit ses derniers instant arrivés : son cheval, s'embroche sue une pique germaine, l'homme tombe et se brise le coup, ces hommes voyant cela, massacrèrent avec fureur les derniers germains...

Le général s'appelait Tugoresix, il était chef de toutes les tribus de Gaule...
son corps, rapporté a Gergovie, fut brûlé afin d'éviter que certains fanatique n'en fassent des reliques.

Les tambours cérémoniels battaient leurs plein à Gergovie... des riches, des pauvres, des nobles, des fermiers s'agitaient ici et là, posant des questions et rendant des services. Les tambours s'arrêtèrent, et la foule se dirigea vers l'agora afin d'assister à la première assemblée du conseil celte.
C'était la première depuis la mort de Tugoresix, mais seulement la deuxième depuis qu'il l'avait instauré, le vieux tyran n'aimait pas trop qu'on discute ses "propositions".

Des hommes armés de bâtons encadrèrent la foule afin de contenir les curieux, la salle prit à peu près l'apparence que devrait avoir ce genre d'événement. Un affranchi, Marsius, ancien esclave de Tugoresix, prit la parole, il déclara l'assemblé est ouverte !
Après quelque hésitations quand à la procédure à appliquer, un druide de taille moyenne prit la parole et demanda : on fait quoi ?

Tous se mirent à se caresser la barbe afin de réfléchir, Marsius, en soupirant commença son discours :

- Comme certains le savent, la paix à été signé avec les germains...

On souffla dans les rangs : bien sûr qu'on le sait, il nous prend pour des cons ?
Marsius se racla la gorge et les murmures cessèrent, il continua :

-... mais plus récemment, la paix à été signé avec les romains !

Indignations dans la foule ! On avait vendus les braves guerriers qui étaient mort pour rien ! Des cris et des insultes partirent de l'assemblée comme des flèche vers l'orateur, qu'on jugeait responsable de la paix.
Marsius fronça des sourcils, pris le gourdin d'un des gardes et frappa violemment son pupitre.Voyant qu'il avait eu l'effet désiré il se dit qu'il avait peut être lancé une mode... bref, il reprit son discours :

-Ne soyez pas déçus ! Tous le sang gaulois qui à été gaspillé...

On interrompit à nouveau : un jeune paysan qui été dans la foule se permit d'intervenir : Gaspillé ?! On est pas des moutons !
Marsius s'apprêtait à virer le perturbateur mais voyant cela, un noble s'interposa en déclarant : Tugoresix n'est plus, laissez le parler par Toutatix !
Le jeune homme répondit au noble : merci mon amis, mais j'ai dit tous ce que j'avais à dire

Marsius se sentit las, mais il continua :

- Tous le sang qui à été... hum...heu...

On entendit un autre murmure : Ah ! il est beau notre orateur !
Mais celui-ci fut réprimandée par ses congénères.

Marsius se frotta les sourcils et reprit :

- Bref ! Nous sommes toujours en guerre contre les Britons et ont va leur casser la gueule pour venger les braves gaulois mort en Italie !

Marsius sourit en pensant que le terme "casser la gueule" motiverait les tribuns, mais un d'eux chuchota : Diable ! Qu'il est grossier !
L'orateur frappa comme un dingue son pupitre et ordonna :

- On doit élire un nouveau chef de l'exécutif !

L'exécutif ? C'est quoi ? se demandèrent les tribuns.
Marsius répondit lui-même :

- Un type comme Tugorésix, mais avec beaucoup moins de pouvoir !

AAAAAhhh, enfin on y arrive déclarèrent les noble rassemblés ici.
Marsius les regarda, effaré, il s'apprêtait à continuer quand il fut chasser par un jeune paysans :

- On est en démocratie ! Vous n'avez pas à mobilisé la parole !

Puis se tournant vers la foule, il ajouta :

- Je suis candidat pour ce poste !

Marsius rigola en pensant qu'un paysan deviendrait chef de Gaulois, mais son rire disparu quand il fit tous les sénateurs voté pour lui...

C'est ainsi que Chiracix devint chef de toutes les tribus de Gaule !

Citation :

-... mais plus récemment, la paix à été signé avec les romains !

euh on peut avoir des détailes

Citation :

De: Raphael
A: polo_lux
Posté le: Sam 13 Fév 2010 - 11:00
Sujet: Re: solution Citer le message
Vu que tu ne te manifestes pas, je m'inquiète. Je peux comprendre que tu ne sois plus trop dispos, mais alors il faut prévenir les autres et éviter de bloquer les 10 autres joueurs qui attendent. De même, tu ne t'es même pas excusé pour le lapin que tu nous a posé à Zaariel, Ytos et moi pour la bataille de Patavium.

Donc je te propose, si tu n'es plus dispo, qu'on signe une paix avec retrait de nos troupes le temps que tu puisses retrouver de la disponibilité. Chacun récupère ses armées et les renvoie chez lui => On se désengage de toutes les batailles en cours.
Je te rend Narbo et Niméa et en contrepartie, tu nous rend Mediolanum. On signe la paix et on te laisse tranquille pendant quelque temps.

Qu'en penses-tu ?

Voilà

Citation :

Donc je te propose, si tu n'es plus dispo,

donc si tu reviens, la paix n'est plus effective !
d'ailleurs, si tu reste longtemps absents, faut aussi voire notre paix, mais tu as pas l'air absent ( des batailles d'attende )

Alors 'faut désengager le combat contre la Légion de Raphael aux abords de Patavium.

Je suis l'agressé, je peux pas désengager

Mer... ! ! ! Moi non plus, car il dit que c'est une bataille frontale...
Ce qu'on peut faire, c'est lancer la bataille puis fuir chacun de son côté. Si évidemment ça fonctionne...
Qu'en disent les grands anciens d'OVR ?

Chacun doit se désengager pour que ça marche. Inutile de résoudre la bataille en auto.

Les grands ancien..