VIRTUA ROMA
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 Roma Virtua Historia

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Raphael
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MessageSujet: Roma Virtua Historia   Roma Virtua Historia EmptyLun 17 Oct - 7:12

Eté 170 Avant JC:

La péninsule Perse en feu.

Bostalos somnolait tout en haut de la tour de guet des fortifications de Sardes. En cette heure matinale, nul danger ne semblait devoir déchirer la plaine. Aucun son ne paraissait pouvoir traverser l'épaisse couche de brouillard qui peinait à se dissiper dans le petit matin.
A la réflexion, Bostalos trouva ce silence suspetc. Et le chant matinal des oiseaux ? le doux bruissement de la vie dans les divers bosquets ?
Sans savoir pourquoi, ce silence assourdissant lui fit venir des frissons glacés.

Scrutant avec peine au travers de la brume, il entrevit des ombres cauchemardesques, une matérialisation de ses pires craintes, une vision qu'il n'eut aucune peine à raccorder à l'incessant cliquetis metalllique qu'il entendait à présent :
L'armée Perse prenait place aux portes de la cité !

Bostalos fut empli d'une crainte comme seul un homme acculé peut en ressentir... La cité ne contenait en effet qu'un très faible contingent, incapable d'en assumer la défense face à une telle horde ! Les seuls espoirs de Bostalos reposaient désormais sur l'armée seulecide postés à quelques jours de marche de la cité. Encore faudrait-il leur faire parvenir la nouvelle à temps.

Bostalos empli alors ses poumons d'une rage guerrière dont il ne se serait pas cru capable et souffla de toutes ses forces dans la corne d'alarme, emplissant la cité de Sardes de cris et de pleurs qui ne s'éteindraint pas de sitôt...


Pendant ce temps, sur la crête face à la cité, le général du Pont, chef des factions persanes, descendant de la grande lignée qui fit la gloire de la Perse, savourait sa future victoire. Après près d'un demi siècle d'attente, les armées Perses s'apprétaient enfin à chasser ces maudits grecs, seulecides ou autre macédoniens de leurs terres ancestrales.
Si ses ordres avaient été bien suivis (et ses ordres étaient toujours exécutés avec dilligence) une autre armée , parthe cette fois, devait entreprendre à cet instant même le siège de la cité d'Halicarnasse, elle même fort peu défendue. Comment aurrait-il pu savoir, à cette heure, que la marche de cette armée avait été stoppée dans les montagnes proches de la cité de Tarsus par une troupe rebelle en quête de pillages ?

Pour l'heure, seul sur sa colline, à l'écart de la tente de commandement, il contemplait la cité endormie qui bientôt résonnerait des cris de ses victimes.
"Ces grecs décadents n'ont rien vu venir ! ils se complaisaient dans leur illusion de puissance, pensa-t-il avec saveur, il est temps pour moi de mettre feu à la péninsule ....."



La guerre des cités libres

Jadis, ils avaient été faibles...
Jadis, ils avaient été corruptibles...
Jadis, ils avaient cru que le ralliement de leurs voisins à un empire leur apporterait prospérité et puissance...

Et puis les rumeurs leur étaient parvenues : l'"ordre" qui régnait dans les cités alignées avait tout de la tyrannie. Ces rois, gouvernant de si loin, n'avaient que faire du malheur des peuples nouvellement acquis à leur cause. Les contigents de soldats qui prenaient place dans les garnisons, fêtés hier en héros, se comportaient aujourd'hui en occupant, violant les femmes, embrigadant les jeunes hommes, réduisant en esclavage tous ceux qui tentaient de s'opposer à l'ordre nouveau.
Tous les nobles de ces anciennes cités libres furent corrompus ou assassinés.

Mais ce temps de la faiblesse était terminé, tous ceux qui avaient eu la chance de résister jusque ici, toutes les cités qui pouvaient encore se targuer de n'avoir d'autre maître que leur propre destin, tous ces hommes qui suivaient un chef, un roi, un général qu'ils connaissaient personnellement depuis leur plus tendre enfance, tous ensemble, ils avaeitn décidé de lutter.

Pour toutes les cités libres, la revanche décisive se jouerait à Alesia, cette citée promise à un grand avenir, la plus grande place forte de toute la gaule.
Des forces collossales furent réunies en secret entre les murs de la cité, et les hommes se préparèrent au combat, car une armée germaine faisait marche sur eux.

De même que les gaulois marchaient sur Lemonum, les britons sur Condate et les romains sur Massilia...

Tous ces envahisseurs pensaient faire leur choux gras du sang de leurs voisins !

Ils se préparaient une amère désillusion...

Les pillards du désert

Ar'themep élaguait des branchages dans les vergers au nord de Jerusalem. Il lui fallait se presser car la saison des pluies arrivaeint à grands pas et que les protections autour des cultures n'étaient pas encore prêtes pour repousser le flot qui risquait de les submerger.
Tout à son travail, il n'entendit pas les pas des hommes qui s'approchaient de lui, à peine s'il perçut le fin bruissement de la flèche qui fendit l'air dans sa direction.
Ar'themep eut un hoquet de surprise quand la flèche se planta dans sa nuque, le transperçant de par devant la gorge. Il se retourna avec peine, émit un borgorisme et ouvrit des yeux stupéfaits à la vue de la meute de soudards du désert qui déferlait sur le domaine de son maître.
Dans un utlime sursaut de conscience il pensa à hurler pour prévenir sa femme, ses enfants, ses amis... mais il ne possédait plus ni souffle, ni cordes vocales pour ce faire. Et c'est avec la rage et le désespoir au coeur qu'il chût au milieu de ses branchages à peine entamés.

Dezrjib enjamba le corps de sa victime avec un sourire de carnassier aux lèvres : ce soir ils allaient faire bombance, ce soir, il y aurait une jeune femme dans son lit et du vin dans sa coupe... et ce soir il dormirait le ventre plein !
Il était temps pour son peuple de venger ces années de misères qui avaient pour cause la dureté avec laquelle pharaon traitait tous ceux qui n'étaient pas nés égyptiens.
La haine appele la haine, et Dezrjib savait, comme tout homme du désert, qu'aucun drime ne restait impuni et que la mort faisait un continuel va et vient entre pillards et égyptiens.

Mais Dezrjib vivait pour le présent. et aujourd'hui il était heureux comme jamais...


Dernière édition par le Jeu 10 Nov - 20:14, édité 1 fois
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Raphael
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MessageSujet: Re: Roma Virtua Historia   Roma Virtua Historia EmptyLun 24 Oct - 21:31

Hiver 170 AV JC :

La bataille de Sardes

Le général Perse enrageait. Bien qu'il ait réussi à installer des fortifications proches de la ville de Sardes et qu'une armée nombreuse venant de l'est se soit joint à lui, il voyait la victoire se dérober. Les seleucides avaient battu le rappel de leurs armées épaulées par une forte armée Grecque commandée par le chef de faction en personne !

Quelle attitude le valeureux Jibbs allait-il devoir adopter ? S'il lançait ses troupes à l'assaut direct de la cité, il risquait d'être pris à trop forte partie, mais sa victoire n'enserait que plus glorieuse. Par contre, s'il laissait les troupes ennemies venir s'épuiser sur les fortifications de son campement, il pouvait espérer les mettre en déroute, puis attaquer la cité avant la fin de l'hiver...
Quoiqu'il en soit, le combat serait âpre et de nombreux hommes y laisseraient la vie.


Dans sa caserne, Bostalos festoyait avec les nouvelles recrues qu'il avait formé lui même : c'étaient de solides gaillards qui ne s'en laisseraient pas compter et qui tiendraient leur ligne comme de vrais hoplites ! Dommage que l'équipement ait fait défaut à la garnison.
Mais l'heure n'était pas au défaistisme, les espoirs de Bostalos étaient plus que comblés : toutes les armées de la Grèce étaient venu au secours de sa cité, lui prouvant une fois de plus qu'il appartenait à une grande et noble faction qui se battrait toujours pour la sauvegarde de sa culture et de son indépendance.

Bientôt viendrait l'heure de la mort, mais ce soir, Bostalos avait le coeur empli de fierté et d'espoir.

La bataille de Sardes resterait gravée dans toutes les mémoires pour longtemps comme l'une des plus meurtrière de l'époque. Mais qui en serait le vainqueur ??


La guerre des gaules

Jadis ils avaient été faibles ...
Mais aujourd'hui, ils avaient frappé... et ils avaient frappé fort !

Le centre de la gaule retentissait encore du cri des romains massacrés aux abords de Massilia et des pleurs des germains écrasés devant la citadelle d'Alesia.
Toutes les dernières cités libres du centre de la Gaule s'étaient passées le message : il fallait absolument repousser violemment toute tentative d'invasion, et au besoin, les amis aideraient les amis, les voisins viendraient au secours des voisins. Tous savaient que si une seule cité venaiet à céder, l'espoir de toutes partirait en fumée.

Buldonix, le plus valeureux des chefs de guerre, le roi de la forteresse d'Alesia leur avait à tous montré un exemple de force.

La levée des boucliers était commencée, et aucune faction, aussi forte soit-elle, ne pourrait l'empêcher d'aboutir à sa conclusion légitime...



Carthage la grande

Imnebal, le grand intendant du Palais de Carthage, avait passé une nuit exécrable...

Le banquet offert en l'honneur des Dieux avait été d'une pitoyable maigreur. On était bien loin des fastes et des excés du temps d'Hasdurbal ! L'or manquait, les caisses de l'état étaient vides, le royaume trop étendu et necessitant trop d'argent pour fonctionner.
Les routes commerciales menant à Carthago Nova étaient pleines d'embuscades, tendues par ses bandits du désert, et les routes maritimes étaient infestées de pirates. Il fallait que le numidie soit Carthaginoise pour assurer la continuié du royaume ! et il fallait soumettre le royaume de Thapsus, empli de richesse, pour prélever un impôt dont l'acheminement ne serait pas entravé par la corruption des questeurs...

Ce soir, Imnebal irait s'entretenir avec le Roi dans son palais. Il savait que Maharbal était un homme d'argent avant d'être un soldat, il comprendrait l'urgence de la situation et agirait en conséquence.
Après tout, n'était-ce pas lui qui, dans sa prime jeunesse, avait permis au royaume Carthaginois de s'emparer des richesses de la Sicile ?

Bientôt, les caisses de Carthages regorgeraient d'or, et Imnebal pourrait même peut être récupérer une de ses petites esclaves numide que Maharbal rapportait de ses expédition guerrières, qui sait ?

A cet instant, sans doute, les nuits ne seraient plus tout à fait aussi difficiles...
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MessageSujet: Re: Roma Virtua Historia   Roma Virtua Historia EmptyJeu 10 Nov - 20:23

Année 169 AV JC :

La Bataille de Sardes

Bostalos se désespérait... Sa toute jeune fille était pâle comme la neige, son fils d'une maigreur cadavérique. Et il avait perdu sa mère le mois passé. Pourquoi le malheur s'acharnait-il sur sa cité ?

Depuis plus d'un an, les vivre se faisaient rare, la cité assiégée par l'armée Perse ne parvenait qu'à difficilement survivre avec les maigres réserves qu'elle avait pu faire à la moisson dernière.

Mais que faisaient donc les armées grecques ??

Les rapports réguliers des éclaireurs faisaient état de nombreux mouvements de troupes, d'escarmouches passagères, mais la bataille semblait toujours de voir être reportée... Et les contingents Gresc affluaient sur le territoires, de même que des armées Perses de toutes cultures, du royaume du Pont, de la Parthie et même de la lointaine Arménie..

Tant de soldats qu'aucune armée n'osait engager la bataille par crainte de déclencher un véritable carnage.

Mais une lueur d'espoir s'allumait depuis peu, les rumeurs faisaient état d'une possible résolution à ce conflit larvé : les Grecs prévoyaient d'affronter les armées Perses en rase campagne... De cette tumultuesue bataille dépendait le sort de Bostalos et des siens.

Car les vivres se faisaient de plus en plus rare, et les hommes de la garnison commençaient à tomber comme des mouches...



La prise de Bostra

Bostra la Belle croyait pouvoir vivre seule loin de tous.

Ses habitants se leurraient.
Ils virent s'installer sous leurs murs les troupes de Pharaon. Amusés par ce petit nombre ridicule.
Ils ne comprirent pas que cela n'était que l'avant garde.

Le jour venu, ils comprirent que seule la vaillance des défenseurs de la cité pouvait espérer les sauver, car le nombre n'y suffirait pas !!

Ils s'armèrent de courage et attendirent l'assaut des troupes ennemies.

Les béliers s'élancèrent vers les maigres murs de l'oasis, poussés au rythme des tambours.
Soudain retentirent les coups violents portés par l'ennemi sur les portes et les palissades.
Dans un bruit assourdissant, ceux-ci s'effondrèrent et firent grandes poussières.

Le capitaine qui dirigeait les défenseurs tenta une manoeuvre. il envoya par les ruelles étroites quelques régiments dirigés par son fidèle sergent, Hektaphaès Le Brave, un homme de valeur.
Mais l'Egyptien perçu la manoeuvre et pendant qu'il faisait avancer les forces principales en direction de la place centrale, quelques régiments s'organisèrent pour contrer cette ruse de guerre.
Le conflit dans les ruelles fut acharné, l'Egyptien laissa un grand nombre de troupes sur le sable dans les ruelles de Bostra, mais ses défenseurs encore plus, le sergent périt, lâchement frappé par un javelot Egyptien. Un second coup porté dans le dos laissait présager qu'il avait été frappé fuyant ou par un de ses camarades.
Pendant ce temps, les Forces principales menées par le général Egyptien Yarmathep, connu sous le sobriquet "Rhetor De" avançaient sous couvert des archers qui arrosaient les défenseurs de la petite cité. Le sort des habitants en étaient jetés.
Mais parce que le général savaient ses hommes impatients d'abattre l'ennemi et de fêter comme il se devait la victoire fit donner l'hallali, alors que les régiments qui avaient contré le contournement arrivaient par l'autre accès à la place principale du village. Rhetor De aimait aussi le sang, le râle des hommes, le bruit du métal rentrant dans les chairs.

Ce fut une bataille impitoyable, sans espoir pour ses défenseurs qui tombaient sous les lances des guerriers nubiens au service de Pharaon.
Le combat était inégal et désespéré, il le fut encore plus alors que le capitaine des défenseurs tombait à son tour. Les défenseurs coincés entre les troupes de "Rhetor De", n'avaient d'autre choix de mourir, massacrés. Ce fut un bain de sang.

Le soir de cette même journée, "Rhetor De" fit donner aux Dieux un festin. ses hommes purent enfin profiter de la fraîcheur de l'Oasis. Prix chèrement payé, après toutes ces heures de marche pour traverser le désert sous les rayon de Râ le magnifique.

Pharaon serait content...



La prise de Vicus Veneda

Alors que ses troupes entament le siège de la ville, le Roi des Scythes en personne escorté de sa garde personnelle s'approche de la faible palissade de bois et invective les troupes ennemies qui se terrent derrière.

- Guerriers des steppes ! Ecoutez moi et rapportez mes paroles au chef de votre tribu. Soyez raisonnables, rendez vous sans résistance et vos vies seront épargnées ainsi que vos maison, vos cochons et vos femmes. Je vous offre meme plus, la gloire d'appartenir a la plus grande aliance de Tribus jamais édifiée.
Scellez votre destin dans le vin plutot que dans le sang.
Gloire aux Tribus ! Gloire aux Scythes !

Entendant ces paroles, le chef de la garde dépécha un de ses soldats auprès du maitre de la cité. Quelques minutes plus tard, un cavalier vêtu d'une longue cape sorti en trombe par la porte principla ede la cité.

Le cavalier chevaucha des heures pour arriver au campement du seigneur des Scythes... Il fut introduit dans sa tente par un soldat à la stature impressionante et au visage recouvert d'un casque de gladiateur. Il devait sans aucun doute servir de garde personnel du seigneur DarkSideos.

- Entre messager *shhhh* , et va délivrer ton message *shhh* mon seigneur l'attend avec impatience...*shhh*

Le cavalier entra dans la tente et eut du mal à se repérer dans la pénombre qui y régnait. Le seigneur scythe était assis dans un grand fauteuil, lui tournant le dos, une longue cape noire recouvrant ses épaules et le haut de son crâne. Il semblait émaner de lui une force obscure comme seul les êtres maudits pouvaient en exhaler.
Derrière lui, le garde colossal respirait difficilement sous son casque, jouant machinalement avec un sabre impressionant qui renvoyait des reflets rougeâtre des plus inquiétants.
Le jeune cavalier s'avança :

- Salut à toi, Seigneur, je me nomme Lahndô Khaal Drissyan, du village de Bespin près de Vicus Venedae... Mon maître m'envoie pour te demander humblement de retirer ton armée de sa province. Notre désir est d'y vivre en paix et de ne pas participer aux furerus qui agitent ce monde.
Il te fait dire aussi que si tu t'entête dans tes désirs de conquête, nous seront obligés de nous battre, et que cette confrontation n'aboutira qu'à la mort de nombreux et valeureux guerriers...

Son message délivré, Lahndô attendit patiemment la réponse du seigneur scythe, quasiment persuadé que son message allait lui coûter la vie.
D'un geste, le seigneur Scythes ordonna à ses soldats de s'emparer du messager qui fut jeté, sans ménagement, dans une fosse sombre qui servait manifestement de prison.

Lahndô était parvenu, au crépuscule, à s'échapper du campement des Scythes. Son art de la dissimulation lui avait permis de tromper la vigilence de ses gardes.

Hélas, ce qu'il avait vu en s'enfuyant n'atait pas pour le réjouir : de nombreux régiments de hacheurs scythes avaient rejoint l'armée initiale, grossissant ainsi leurs rangs à un point tel que la garnison de Vicus Venedae ne saurait repousser l'attaque.

Il ne lui restait plus à présent qu'à porter la mauvaise nouvelle à son maître et attendre en compagnie des siens la mort qui approchait...

DarkSideos, Roi des Tribus était satisfait que l'on ai exécuté ces ordres a la lettre. Le messager Lahndô avait pu sortir du camp après avoir vu les renforts tant attendus. Plus l'ennemi serait terrorisé et plus la bataille serait facile.

Il réunit tous ces chefs d'unité dans sa tente. L'attaque était prévue pour le petit matin, l'ennemi serait encore endormi ou juste réveillé. L'ordre fut donné de ne détruire que les troupes adverses, d'essayer d'éviter de trop abimer le tissu économique de la ville. Plus la victoire serait rapide et décisive, plus les habitants seraient intégrés rapidement dans l'alliance.

A la fin de la nuit, longtemps avant l'aube, les troupes se mirent en marche, béliers en tete. Cette ville serait bientot une tribu de plus dans le vaste empire...
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Raphael
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MessageSujet: Re: Roma Virtua Historia   Roma Virtua Historia EmptyVen 25 Nov - 12:25

Année 168 AV JC :

La prise de Sardes

Le soleil était encore bas dans le ciel, le léger brouillard matinal se dissipait lentement et laissait apparaître la ville de Sardes aux troupes massées sur les hauteurs.

2 armées aux couleurs de la Perse en ordre de bataille stationnaient en hauteur sur le front ouest de la ville.
Le calme matinal fut rompu par une chevauchée de cavalcade.
Le son résonnait en contre bas de la colline mais les cavaliers restaient encore invisibles à l'oeil des observateurs Perses.

Un cavalier Perse galopait et remontait la colline non loin derrière se trouvait un petit groupe de cavalier grecque.
L'alarme retentit rapidement dans le camp.
Des archers se mirent en position et immédiatement une salve parti en direction des cavaliers ennemis.
Une partie des poursuivants tombèrent, ceux encore en état de combattre firent promptement demi tour.
Mais une seconde volée cloua leur destin à jamais sur les pentes de la colline.

L'éclaireur sauta du cheval, remercia brièvement ses sauveurs et s'en alla directement vers la tente de commandement au pas de course.
Un message, je suis porteur d'un message de la plus haute importance pour le général, criait-il
L'homme courait à travers les rangs traversa les différentes lignes d'assaut qui avait été établis puis fut stoppé par la garde du général.

-Halte là, soldat, on ne passe pas.
-J'ai un message, un message important pour le général, les grecques font mouv...
Il s'arrêta quand il vit la silhouette du général jibbs, premier fils de l'empereur apparaître dans l'encadrement de l'entrée de la tente.
Il était nu tête son casque porté sous le bras, son armure était déjà mise, immédiatement un homme amenait son cheval et l'éclaireur mit genou à terre.

-Mon général, j'ai un message.
- Parle vite, nous avons une ville à prendre pour la gloire de la Perse.
- Une armée grecque en grand nombre fait mouvement vers la ville à ce moment même.
- Faites prévenir l'ibère de suite, nous allons modifier notre assaut.


Le général ibère dit l'almogavre par ses hommes, arriva prestement.
Une discussion rapide eu lieu.
De toute évidence il ne pouvait plus reculer mais l'arrivé de cette armée inopinée sur leur arrière pourrait dérangé grandement la prise.
Il se décidèrent alors couvrir 2 fronts.
L'armée principale dirigée par le fils de l'empereur ferait tomber les murs, tandis que la seconde servirait d'armée de renfort et protégerait le corps principal pendant l'attaque contre les murs.

Le corps d'armée principal fit mouvement vers la ville, les 4 béliers étaient bientôt aux murs quand la nouvelle se répandit.
L'armée grecque était en vue d l'autre coté de la ville.
Il ne semblait pas vouloir entamer un combat à l'extérieur des murs de la cité.

Alors se sera un combat de rue, cria le général Perse

La petite hauteur où se trouvait le général lui permettait de voir un bon parti des mouvements d'armée de la garnison.
Quand les béliers commencèrent à faire voler en éclat les minces palissades érigées, la garnison reculait et se regroupait sur la place centrale.
Les murs tombés, le corps principal pénétra dans la ville, peu de temps après la seconde armée suivit, rapidement il fut décidé que le combat s’effectuera que sur 2 rues.
Pendant que les armées se mettaient en ordre de bataille dans le sein même de la cité.
L'armée grecque avait rejoint la place centrale et commençait elle aussi à vouloir défendre la position.
Les maisons autour des armées semblaient déserte, pas un cri, aucune action malveillante ne fut commise, ils avait dû tous fuir vers d'autre quartier de la ville.

Un combat d'archers commença alors. Volée après volée, les râles des mourants s'engouffrèrent dans les rues, à chaque minute de plus leur nombre augmentaient.
Une compagnie de peltastes Perse se vit entièrement exterminée sous les tirs grecs.
Mais cela n'empêchait pas le Perse d'infliger de très lourdes pertes, chaque pluie de flèches qui s'abattaient sur la garnison, voyait l'espoir grec diminué.
Leur ligne semblait forte, mais les cris d'agonies ne trompaient pas le général Perse, leur réserve de troupes s'amenuisent bientôt nous pourrons charger.

Une estafette de la seconde armée accoura alors en direction du général Perse
-J'ai un message de la part du généralissime Almogavre
-Oui, que se passe t-il.
-Il subit de lourde perte, le gros de l'armée grecque est sur sa position et il soupçonne que ce qu'il y face à vous soit le strict minimum.
-Bien, transmettez que nous allons lancer l'assaut, qu'il tienne bon j'envoie immédiatement de unités pour le soutenir.
-A vos ordres mon général.
L'estafette reparti aussi tôt dans le sens inverse.

Les unités de cavaleries furent alors réquisitionnées pour soutenir le second front.
Et en même temps les lignes de phalanges Perse avancèrent en direction de la place centrale, la dernière résistance grecque céderait bientôt.

Les cavaliers galopaient dans les rues, rencontrèrent des fuyards perse, remontèrent la ligne et arrivèrent dans ce qui paraissaient être une énorme boucherie à ciel ouvert.
Un monticule de cadavre de chevaux, d'hommes grecque et perse s’entassait les uns sur les autres.
Le second général voyant les renforts envoyés chargea et fut suivi de près par le reste de la cavalerie.
Le cri de guerre, la folie furieuse qui l'animait, et la masse de cavalier qui fonça, furent suffisants pour faire plier le courage grec.
Au bout de quelque seconde la ligne adverse lâchait prise.
Les cavaliers continuèrent leur chemin jusqu’a la place centrale.

La place centrale d'ailleurs, le combat faisait encore rage, une unité perse avait déjà péri mais pour chaque homme tombé, nombre de grec le suivait. L'arrivée dans le dos de la cavalerie permit de rompre les dernières unités vaillantes adverses.
Tous furent tués et exterminé sauf 1 soldat.
Ils auraient pour mission de raconter à son peuple ce qu'il avait vu ici.

-Victoire, victoire mes frères un bastion grecque est tombé, bientôt l'hégémonie grecque tombera elle aussi.
Et nous libérerons enfin nos terres.
Un hourra suivit ces quelques mots.
-Ne tuez pas la population, car désormais elle est notre.
Mais pour le reste vous savez ce qu'il reste à faire.

Le général alla à la rencontre de son confère pour fêter la victoire.
-Je n'ai pas vu se chien de général grecque, l'as tu tué ?
- Non, j'ai essayé de le coincer mais il a préféré fuir et rester seulement à porté de vue du conflit sur une hauteur non loin de là.
-Le lâche, enfin bon quand son peuple apprendra sa défaite et sa couardise, il sera châtié.
-Probablement, allons voir ces trésors grecs.


Un grand rire s'échappa alors des 2 généraux.
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MessageSujet: Re: Roma Virtua Historia   Roma Virtua Historia EmptyLun 5 Déc - 10:17

Année 167 AV JC :

La défense de Sardes

Les Grecs, désireux de reprendre la cité de Sardes, récemment tombée aux mains des Perses, envoient un corps expéditionnaire lourdement armé devant les murs de la cité. Malheureusement pour eux, deux armées de vétérans Perses se tiennent pretes à les repousser...

Une armée grec avait été vue sur la dernière province Perse c'est à dire la ville de Sardes. D'après les éclaireurs l'élite de la grèce était présente, leur meilleurs hoplites étaient présent, ainsi que de nombreux contingent de cavalerie lourde, le tout soutenue par des archers.

Nous décidâmes nous les vainqueurs de Sardes de leur montrer que cette ville serait Perse et le restera dorénavant. On fit mouvement avec nos armée pour contrer l'avancée grec.

- Ou est l'ennemi, on nous avait assuré la présence de leur armée dans les environs, dit le général Perse.
- Leur armée est là seigneur, ils se terrent dans la forêt probablement. Un éclaireur nous à confirmer il y a encore peu leur présence, aux dernières nouvelles ils doivent se trouver en contre bas, répondit un capitaine.


Suite à cette discussion, le général fit convoquer son armée.

-Soldat de Perse, aujourd'hui n'est pas un jour ordinaire. Nous n'allons pas à la guerre mais nous allons traquer des lapins. Des beaux, grands et forts lapins.

Un grand rire éclata dans les rangs de l'armée du Pont, les hommes souriaient et ils savaient que les augures étaient avec eux.

Les armées s'ébranlèrent et se mirent en ordre de marche. Les armées avancaient aux pas cadencé en direction d'une colline.
En contre bas se trouvaient une forêt obscure et épaisse.
A n'en pas douter le géénral grec avait dû stationner ses hommes ici.
Une unité de cavalerie composé d'homme fidèle parti en avant pour repérer les positions adverses dans la forêt.
Il fallut peu de temps, pourqu'une pluie de tait innombrables apparut dans les frondaisons de la forêt.


Le général regardait un des ses conseillers.
- Il faudra faire ériger une statue ou un monument à leur mémoire à Sardes, leur sacrifice ne sera pas vain pour l'empire. N'oubliez pas une chose soldat de Perse, ce qui l'action la plus noble que vous puisisez faire est de donnez votre sang et votre vie pour la patrie, disait-il a sa garde.

La position adverse repéré, les armées se remirent en marche. Peu de temps après un contingent de cavalerie adverse fit mouvement pour tenter de traquer la cavalerie lourde de la seconde armée Perse.
Elle fut contré par le général Jibbs 1er en perosnne.


Je chargeais me cramponnant aux rennes de mon cheval. La vitesse du galop et la pente me laissait présager le pire à l'impacte. Nous risquerions de nous rompre les os. Le vent claquaient aux oreilles
Autour de moi mes gardes du corps, un regard de haiine les animaient.
L'arme au clair ils chargèrent.
POUR L'EMPEREUR, POUR LA PERSE, criaient-ils à l'unisson.
L'intensité de l'action leur couppa le souffle pour la plupart
La cavalerie grec était de coté et semblaient ne pas avoir vu la menace sur leur flanc.
L'impact de ma volonté implacable fit voler en éclat la formation adverse.
A l'impact le chef d'unité grec se vit transpercer par mon épée.
Les chevaux hennissaient, des ordres était aboyés, et le râle des bléssés commença. Le sang giclait et son odeur montait rapidement dans les airs ennivrant les soldats Perse, Car se sang n'était pa sle leur mais celui de leur ennemi.
Mon cheval se cabra renversant ainsi un autre ennemi qui périt sous les sabots. Je continuai sur ma lancé, un grec qui devait avoir perdu son cheval à l'impact vit sa tête s'envoler pour retomber lourdement au sol.
Le peu de survivant dans l'unité grec ne demanda pas son reste et s'en alla à bride abbattu.


Les archers se mirent en position et commencèrent leur tir de barrage sur les archers adverses. Nombre de grec péri sous les tirs, les hoplites lourds se mirent alors en branle pour tenter de faire taire cette pluie.
Pendant que les archers survivants chez les grec tentaient de les couvrir.
La cavalerie grec fit mouvement pour tenter de flanquer la seocnde armée Perse.
Mais la cavaleir lourde teint bon et ne fléchit pas à l'impact.
Repoussant par la même occcasion l'assaut.
S'en était trop pour le grec.
Son infanterie chercha le contact et rencontra fatalement les lignes de phalanges Perse.
Un combat bref s'engagea alors, la ligne de front grec s'enfuya quasiment instantanément, une des unité commandé par un lache probalement aviat fuit à l'impact entrainant alors le reste des troupes.
Le reste fut une affaire de poursuite de troupe.

Hélas la journée se faisaient tard et les grecs purent réussir a se cacher à nos yeux sous via les couverts que leur procuraient la forêt et la faible clarté de la lune

*****


La prise de Pergame

Toujours en pleine guerre contre les Perses, les grecs décident de prendre la cité de Pergame afin de maintenir leur présence sur la péninsule Perse, enjeu de toutes les convotiises.


La tension était palpable dans le campement Seleucide, qui avait decider pour rester à l'ecart des nombreux archers de la ville, de monter leur camp sur une colline qui dominait la ville. Elle ne dormait plus, à chaque moment elle s'attendait à une attaque, l'attaque qui lui serai peut etre fatale...
un cavalier traversât la nuit noire, soulevant sous ses pas un nuage de poussiere d'une couleur bleuté, il se presenta aux garde et demanda à voir le general Devil

-General, j'ai un message pour vous de la part du roi pirlo il veut que vous lancier l'attaque des son signal
-Tres bien...

Le general Devil 2eme du nom monta sur l'estrade, placer au milieu du camp seleucide, une fois que tout les soldats se fût reunit devant l'estrade, il prit la parole:
-Soldats, nous attaquerons demain la ville de Pergame, il est venu le temps, de venger la mort de nos confres a Sardes, il est venu le temps, de prendre cette ville, il est venu le temps de montrer au perses des raisons de nous craindre!!!

Des hurlements frenetiques sortirent de la foule de soldats desordonnés jusqu'a devenir une ovation, le general attendit la fin puis recommença a parler:

-demain, ne faite aucun prisonnier, il ne doit rester aucun survivants, Nous avons repoussés deux armées perses venu en renfort, cette ville ne nous arretera pas, mort aux perses!!!

apres une autre ovation, le general seleucide, retourna dans sa tente, il avait demain a accomplire une grande mission, la victoire n'etait pas assurée, les perses etait encore nombreux en defense, attendant en tremblant comme des lâches derriere leur rempart qui devait commencer a moisir a cause de l'humidité ambiante qui regnait la nuit.
Demain sera le jour de la vengeance! se dit-il avant de s'endormir enfin, avec le bruit des lances en arriere fond.



Le bruit des sabot retentissait au dehors de la tente du general, les soldats se preparait a l'assaut de la cité, le grand moment était enfin arriver.
au loin, Devil 2eme du nom entendit le son d'un corp, le bruit venait du campement grec, non loin.
Devil indica à ses hommes le placement: 3 beliers devait percer le mur en face d'eux, tandi que le dernier ouvrirait la porte de lautre coté de l'armée grec, qui se trouvait a present a leur droite.
le combat s'engagea, les, perses avait decidés de se regrouper sur la place principale, les deloger allait etre particulierement difficile: ils avaient de bons piquiers et beaucoup d'archers
ils avaient decider de mettre leur piquier devant ,couvrant deux rues par lequel allaient attaquer les deux armées grec, leur piquiers etant soutenu par de nombreuse unités d'achers; les infenterie oriental couvraient les deux autres rues qui menait a la place principale

Le general devil envoya sa cavalerie se placer, elle devait attaquer du coté de l'infnterie oriental dans le dos des piquiers, qui devil en etait sur, n'allait pas tarder a venir soutenir des piquiers long debordé par la masse d'hoplites grec qui n'allaient pas tarder a faire irruption sur la place

les hoplites se placèrent, une missive de la part de l'armée alliée annonça l'envoi prochain de piquiers conscrit pour affiblir les piqiers long, devil fit donc avancer ses hoplites puit envoya ses peltastes affaiblir les piquiers devant lui.

le general perse, un vulgaire archer, decida d'envoyer des infanterie oriental contrer les peltastes avant meme qu'ils commencent à tirer, alors s'en suivit un combat peltastes/infanterie oriental, dont aucun participant ne semblait vouloir ceder le premier, devil prit donc la decision d'envoyer un hopite aider ses peltastes pour faire ceder l'ennemi, à ce momeent la, un message arriva qui lui annonça plus de perte que prevu avec l'attaque des piquier conscrit, d'apres le message, c'etait une franche reussite, le message lui appris aussi l'envoi de plusieur unitées d'hoplites, soutenu par des hoplites lourd, la fine fleur de cette bataille.

Cette decision ravit le general seleucide qui, relevant les yeux de la missive, aperçu les piquiers long de l'ennemi qui reagissait a l'envoi de ses hoplites en avançant pour aider l'infanterie orientale

imperturbable, il decida d'envoyer le reste de ses hoplites dans la bataille, malaureusement les premiers hoplites qu'il avait envoyer ne reussissaient pas a passer parmis la masse de peltastes qui combattaient toujours sauvagement l'ennemi.

pendant ce temps, coté cavalerie, les perses ayant vu la cavalerie qui menaçait leurs arrieres, decidirent de mettre un piquier pour contrer toute attaque venant de ce coté, cela importer peu au general seleucide qui était persuadé que les perses devrait le bouger si ils voulaient tenir.

les premiers signe de faiblesse commençaient à se faire sentir chez l'ennemi, la premiere infenterie oriental ceda, et fuit, continuant leur chemin, les hoplites et peltastes mirrent en deroute la deuxieme unité d'infenteri orientale, pui se lancèrent a l'ttaque des piquiers long ennemi, qui resisterent un moment grace à l'aide d'une autre infanterie orientale, venu de la place principale, puis elle lachèrent finalementet et s'enfuyerent comme des laches.

coté grec, la situation tournait largement en leur faveur, si bien que les perses avaient decider d'envoyer toute leur unités d'infenterie oriental, soutenu par les archers, pour contrer cette attaque en masse.

les perses deciderent alors d'envoyer le piquier charger de maintenir le "front cavalerie" retenir l'arriver des seleucides sur la place principale, les grec toujours retenu par une masse d'infanterie oriental et d'achers.

A ce moment, le general seleucide decida d'envoyer sa cavalerie, les piquiers perses n'avait pas encore aein ses propres hoplites mais le moment était venu, la cavalerie fonça alors dans la rue prinsipale de la cité, la phalange gardant le front qu'elle venait de quitter essaya vainement de revenir pour l'empecher de foncer dans le dos des archers et de l'infanterie orientale, retenant les grec, la cavalerie finie par fuir mais au prit de lourde perte côté perses, ce qui permit aux grecs, bléssés mais nombreus de s'infiltrer dans sur l place en faisant fuir les derniers infanterie oriental qui restait nombreuses.

les seleucides avancèrent prudement sur la place, mais ils furent entouré par des peltastes, de nombreux archers et de l'infanterie orientale avec un moral d'acier.

le grec n'etai plus retenu que par un seul archers, encore resistant, tout le reste entourés l'armée seleucide, le grec tua le general perse mais cela ne suffit pas, les unitées seleucides commencerent a fuir et tout le reste de l'armée perse, toujours avec le meme moral d'acier, fonça sur l'armée grec qui se mit a fuir dans un effet boule de neige incroyable, il ne rester presque rien aux perses, les unitées seleucides et grec se regrouperent et reattaquerent, sans peur cette fois, la charge devastatrice de la cavalerie grec reduit tout les derniers espoir perses à néant, LA VILLE ETAIT GREC


les deux generaux se serrerent la main, comme de vieux freres, puis echangerent un regard en direction des cadavres perses, il ne restait plus aucun survivant:
-Qu'allons nous faire de cette ville mon roi?
-Hé bien, vu la force dont vous avez fait preuve aujourd'hui, je crois qu'elle vous revient de droit, si vous le voulez bien sur
-Merci, bien sur que je l'accepte!
-Hé bien soite
-A travers cette bataille, les perses vont apprendre a se mefier de nous, à ne plus nous sous estimez

Les cris de joi des soldats grec et seleucide, resonnerent dans la cité, un festin fut organisé, dans lequel les villageois affamé furent convié.
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